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Partage3D à la Fête de la Vie Associative et Citoyenne de Paris Centre
Written by OcéaneLe weekend dernier, Gabriel et Robin ont représenté l'association Partage3D.fr lors de la Fête de la Vie Associative et Citoyenne de Paris Centre.
Ils ont été très heureux de l'intérêt que vous nous avez porté durant cet événement et espèrent vous revoir bientôt !
Malgré la situation actuelle, la communauté de Partage3D n’a pas chômé ! Afin de réagir face au manque de matériel de protection pour le personnel soignant et pour les particuliers, les makers de Partage3D ont su répondre aux appels lancés : ce n’est pas moins d’une trentaine d’adhérents de la France entière qui ont participé à la modélisation et la production de poignées de portes mains libres commandées par l’hôpital de Saint-Cloud fin mars.
Afin de lutter contre la pandémie de COVID19, la mairie du XVème arrondissement de Paris a décidé d'aider à son échelle en imprimant du matériel de protection à destination du personnel soignant. Partage3D a donc décidé de rejoindre ce projet en aidant à superviser l'opération.
Début avril, c’est le collectif Makers contre le COVID qui nous a contacté pour participer à leur projet : produire du matériel de protection d’urgence pour l’Ile de France. Partage3D a également eu la chance de pouvoir superviser la production de visières imprimées en 3D dans la mairie du 4ème arrondissement de Paris.
Partage3D remercie tous ceux qui ont participé et nous sommes très fiers d’avoir pu compter sur votre réactivité et votre implication.
Ces derniers mois, sur le blog de Partage3D, nous vous avons partagé un tutoriel pour fabriquer votre masque, chez vous, grâce à votre imprimante 3D. Vous pourrez retrouver tous nos conseils pour fabriquer un masque le plus efficace possible et les fichiers STL du masque.
Si vous avez un projet 3D mais que vous ne savez pas quel matériau utiliser, nous vous avons répertorié les caractéristiques des matériaux les plus communs afin de trouver celui qui correspondra le mieux à vos attentes
Si vous aussi souhaitez imprimer votre masque en 3D, nous avons répertorié quelques conseils sur les matériaux à utiliser ainsi que plusieurs fichiers en open-source.
Le masque imprimé permet de limiter ses déchets, car il est réutilisable s’il est correctement nettoyé. Vous pouvez nettoyer le masque en machine à laver, au lave-vaisselle ou au désinfectant. Attention à la température de lavage, qui peut endommager certains types de plastique.
Nous vous partageons ci-dessous plusieurs modèles de masques en open source.
- Retrouvez sur 3Dcults toute une biliothèque de fichiers liés au CoronaVirus, mais surtout un fichier de masque approprié selon nous.
- Retrouvez la version de Copper3D, le NanoHack
Votre choix devra porter sur des masques décomposés en plusieurs pièces et rechargeables avec un filtre. Le principe étant de contenir un filtre lavable entre un grillage et un capuchon. Ce filtre peut être en coton (plusieurs couches) ou d’autres textiles lavables (ou mélanges de matières) détaillées dans ce fichier, certifiées par plusieurs organismes et testés par la DGA (Direction Générale des Armées).
Le matériau idéal dépend de plusieurs facteurs. Certains masques ont été pensé à partir de la matière de production, selon la forme et le principe d’utilisation souhaité par le concepteur : rigidité, souplesse, facilité ou agréabilité à porter, etc. Attention donc à bien analyser la forme du masque avant de porter votre choix. Le TPU apporterait un contact plus doux sur le visage, en étant plus souple que le PLA. Cependant il est plus technique à imprimer en nécessitant de nombreux réglages de l’imprimante.
Selon Copper3D, un matériau antibactérien comme le PLACTIVE (PLA et cuivre) ou le MDFLEX (TPU et matériau antibactérien), serait plus adapté. En effet, ils permettraient d’éliminer 99,99% des virus et ont déjà fait leurs preuves dans l'impression bio-médicale.
Si ces matières vous sont difficilement accessibles, vous pouvez utiliser le PETG, qui selon Adrien Rouet, directeur de Esquisse-3D, serait un juste milieu. C’est un plastique souple, facile à imprimer, ayant une bonne résistance aux chocs et à la température, et donc une bonne durabilité. C’est un type de plastique utilisé dans l’industrie alimentaire, notamment dans la fabrication de bouteilles en plastique.
Au niveau des caractéristiques techniques d’impression du PETG :
- Température pour l’extrudeur : 210 à 260°c
- Température pour la base : 60 à 80 °c
- Vitesse d’impression basse : 40 à 60mm/s
Le plus important est de bien respecter les mesures hygiéniques préconisées : Nettoyer régulièrement son masque et changer les filtres toutes les quatre heures maximum.
Prenez soin de vous !
Des visières de protection imprimées en 3D pour éviter les contaminations
Written by AgatheAfin de lutter contre la pandémie de COVID19, la mairie du XVème arrondissement de Paris a décidé d'aider à son échelle en imprimant du matériel de protection à destination du personnel soignant. Partage3D a donc décidé de rejoindre ce projet en aidant à superviser l'opération.
Ce n’est pas moins de 17 imprimantes 3D qui fonctionnent du matin au soir pour confectionner du matériel de protection. Environ 300 visières sont imprimées chaque jour grâce aux bénévoles présents pour assurer le bon fonctionnement de la ferme d’impression 3D. Mais face à la demande et à la perpétuelle évolution des modes de fabrications, il se pourrait que la production s’intensifie et que les machines se mettent à imprimer jour et nuit.
Les soignants manquent cruellement de matériels de protection notamment de masques et de lunettes. Même si nous ne pouvons pas en fabriquer à proprement parler, il existe des alternatives notamment les visières de protection. Elles regroupent de nombreux avantages puisqu’elles permettent de protéger efficacement les soignants des postillons mais elles peuvent également être désinfectées et réutilisées. Les visières sont imprimées à partir d’un fichier européen standardisé et leur efficacité a donc été validé.
Mais cette mini-usine ne peut fonctionner sans personnes compétentes. Aujourd’hui Partage3D cherche des personnes ayant des connaissances en impression 3D pour venir encadrer et superviser cette production. Si vous cherchez un moyen d’apporter votre pierre à l’édifice et contribuer à aider les soignants tout en étant rémunéré, contactez-nous ! Vous pouvez également devenir Volontaire COVID19 afin d’être contacté en cas de besoin urgent de production de pièces liées au COVID19.
Vous pouvez télécharger le fichier utilisé directement sur Partage3D.fr en format STL .
Projet Volontaire COVID19 : Poignées de Porte Main-Libre pour Hôpital - Aide aux Soignants
Written by EvazSuite à l'appel à mobilisation de Partage3D.fr le 22 mars 2020, plus d'une centaine de makers se sont montrés disponibles pour produire des objets en 3D en vue de lutter contre la propagation du coronavirus. Lorsqu'un hôpital des Hauts-de-Seine(92) nous a contactés nous étions prêts à œuvrer pour aider les équipes médicales sur le terrain.
Les soignants n’osent plus toucher les poignées de portes de peur d’être contaminés et sont obligés de se contorsionner pour les ouvrir et fermer. Leur demande était de pouvoir installer des poignées de portes main-libre afin de faciliter les allées et venues du personnel au sein de l’hôpital.
Le modèle de poignées de porte main-libre initialement choisi par l'ingénieur biomédical était proposé par Materialise, le cylindrical narrow, mais celui-ci ne convenait pas, il fallait améliorer :
- la facilité d'impression
- la rapidité d'installation
- le confort d'utilisation
- la solidité
- l'ergonomie
- la planéité (éviter le plus possible les cavités)
Les modeleurs 3D volontaires de Partage3D.fr se sont montrés particulièrement réactifs : en moins de 48h, le modèle était imprimé. Un canal de discussion a été créé pour que les 30 makers volontaires échangent sur la meilleure façon de faire. Un total de 16 fichiers différents ont été proposés. L'ingénieur biomédical à l'origine de la demande n'avait plus qu'à faire son choix, qui s'est porté sur la version de Loboastro (voir tableau). Une impression test a été réalisée et expérimentée à l’hôpital. Projet validé ! Une première commande de vingt pièces a été passée et redirigée vers les volontaires pour l’impression.
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Au cours de ces itérations, une question relative au milieu d'application s'est posée : comment supprimer l'aspect poreux des pièces imprimées en 3D ? En effet, dans un hôpital, même en contexte de crise, on ne peut se permettre de mettre en place un système qui ne répond pas à un minimum de normes d'hygiène. Or les objets imprimés en 3D sont par nature poreux car constitués d'une multitude de couches, ce qui favorise le développement de bactéries et complique le nettoyage. Le solution proposée et validée a été la suivante :
- Préparation d'un ABS Slurry
- Impression en ABS
- Enduit de la pièce avec le mélange d'ABS et d'acétone.
Ce projet est réplicable à toutes les structures qui en ont besoin, voici les fichiers :
- Télécharger depuis Partage3D.fr : format STEP ou format STL
- Télécharger depuis Thingiverse
Toute l’équipe de Partage3D remercie vivement l’ensemble des participants au projet, leur investissement et la rapidité avec laquelle ils ont œuvré. Le personnel de l’hôpital est également très reconnaissant pour ce travail et remercie également les volontaires pour leur implication !
Pourquoi devenir Volontaire COVID19 ?
Que signifie Volontaire COVID19 ?
Comment devenir Volontaire COVID19 ?
Comment trouver des Volontaires COVID19 ?
Comment contacter les Volontaires COVID19 ?
Que Pouvons-nous Faire Contre le Coronavirus avec nos Imprimantes 3D ?
Written by Partage3DLa fabrication numérique et en particulier l’impression 3D permettent de résoudre bien des déconvenues dans de multiples circonstances. La situation de crise dans laquelle nous nous trouvons avec la pandémie de coronavirus et les mesures de confinement associées nous mène à cette question :
Que pouvons-nous apporter comme aide avec nos imprimantes 3D, concrètement ?
En tant que communauté de makers, Partage3D.fr peut se rendre utile.
Les Projets :
Plusieurs solutions ou projets de solutions existent, les fablabs et makers du monde entier se sont mobilisés, en voici la liste. Je la maintiendrai le plus à jour possible pour vous.
ATTENTION : ces projets sont des initiatives récentes et pas ou peu testées, il est trop tôt pour dire lesquelles sont viables.
Cela dit, il est toujours préférable d’avoir un remède qui fonctionne peu que pas de remède du tout.
1- Respirateurs [UPDATE 23/03/2020]
Il existe principalement deux types de respirateurs. La ventilation invasive et la ventilation non-invasive.
Projet français de ventilation invasive
Toute la documentation du projet ici.
Projet espagnol de ventilation non-invasive
2- Valves de Respiration
Dans la ville de Bresica en Lombardie (Italie Nord) l’hôpital s’est trouvé en rupture de stock de valves de respiration pour ses patients. Le fournisseur n’étant pas en mesure de livrer dans les délais, il y avait danger de mort pour les personnes hospitalisées. Le fondateur du Fablab milanais Massimo Temporelli a pu modéliser une valve de remplacement imprimable en 3D. Selon plusieurs sources, celles-ci ont pu sauver les patients :
L’entreprise Lonati, voisine de l’hôpital, qui en temps normal produit des chaussettes, a pu en imprimer avec la technologie de frittage de poudre (SLS) dont elle dispose.
Le problème est que, pour des raisons de propriété intellectuelle, le designer ne peut partager les fichiers qu’en cas d’urgence de vie ou de mort. C’est dommage car celles-ci sont testées et éprouvées.
Heureusement, face à la demande grandissante des hôpitaux, plusieurs designers ont créé des équivalents open source :
Détournement du masque Snorkel de Decathlon
Decathlon a donné libre accès aux sources de son masque Snorkel qu'il suffira d'alimenter en air avec un simple connecteur imprimé en 3D. Ce masque permet de se substituer aux masques conventionnels pour ceux qui n'en ont plus.
Filip Kober sur GrabCad, posté hier (18/03/2020)
Fundación Materialización 3D sur Thingiverse, posté hier (18/03/2020)
J’attends d’avoir des retours de personnes ayant testé ces fichiers pour mettre à jour l’article avec les informations les plus fiables concernant les options d’impression 3D.
3- Masques de Protection
La pénurie de masques est un grave problème. Des alternatives imprimables en 3D existent. Ces projets se présentent comme des projets sérieux, mais il est difficile d’avoir des retours sur leur efficacité (tout spécialiste est prié de se manifester) :
[UPDATE 21/03/2020] Masque de Protection Prusa
Le fabriquant d'imprimante 3D Prusa vient de publier un modèle de masque de protection pour aider à :
- Ne pas se toucher le visage
- Prolonger la durée de vie des masques chirurgicaux
HackThePandemic, publié hier (18/03/2020)
Design de masque imprimable mis à disposition par la société chilienne Copper3D, supposé éliminer les particules grâce à un filament produit par la même société. Les fournisseurs Européens de ce filament sont tous actuellement en rupture de stock.
Masque avec filtre à particules P3 (posté le 16/03/2020)
Design de masque proposé par Factoria 3D, une boutique d'impression 3D espagnole. Il peut s'imprimer sans supports mais s'utilise impérativement avec un filtre à particules P3.
Masque avec filtre HEPA (posté le 23/02/2020)
Réalisé par un designer Hongkongais ce masque nécessite un filtre HEPA, un adaptateur modulable permet d'en utiliser de différentes sortes.
Adaptateur modulable téléchargeable ici.
4- Poignée de porte main-libre.
Afin de limiter la propagation du virus, il est préférable de ne pas toucher les poignées de porte dans les lieux à risques. Ce design permet d'ouvrir une porte sans poignée.
5- Toute aide est la bienvenue
Contribuer en devenant Volontaire COVID19 : cliquer ici pour faire partie de la liste.
Proposer une autre aide : postez un commentaire, ou cliquez ici pour contacter l'administration.
Pour faire une demande en tant que personnel hospitalier, rendez-vous sur la page contact.
Si vous avez la moindre information supplémentaire, je vous serais reconnaissant de contribuer dans les commentaires ou de m’écrire directement ici.
Gabriel Tapia,
Fondateur de Partage3D.fr
[UPDATE] Merci à vous tous d'être venus si nombreux pour discuter et #partager autour de notre #imprimante3d !! <3
Cité des sciences et de l'industrie
Du vendredi 23 au dimanche 25 novembre 2018
Les Makers sont de retour à Paris, pour participer au salon qui leur est dédié. Venez les rencontrer car c’est aussi le rendez-vous des curieux !
En fait, plus vous êtes néophyte, plus vous risquez d’être émerveillé et de vouloir y rester les trois jours. De plus en plus ludique et pédagogique, c’est l’occasion d’emmener votre famille pour l’initier au plaisir du Do It Yourself. Vous pouvez également rencontrer des professionnels pour discuter de vos projets.
Nous y serons à partir de vendredi jusqu’à dimanche. Passez-nous saluer si vous nous reconnaissez !
Encore une fois nous avons été émerveillés par les Makers présents lors de cet événement spécialisé du Do It Yourself. Jeux vidéo, jardinage, musique, robots, peinture, transports, déco, sculpture, constructions en tout genre, etc. C’est à ces moments-là que l’on voit à quel point l’Être Humain est créatif et doué de ses mains.
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Nous étions présents au deuxième étage, partie réservée à la robotique, la programmation, les jeux vidéo et la culture geek de façon générale. Cette fois-ci nous avions prévus un atelier de modélisation 3D pour les débutants. Une imprimante prêtée par Premium Computer Services était exposée sur notre stand et a fonctionné tout le week-end, permettant aux plus curieux d’analyser son fonctionnement.
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Voici un petit récapitulatif en photos de cette superbe édition 2017 !
A quand la prochaine ?!
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Dessin par Justine TACO, étudiante en Mastère ITMP à l'ESIEE
L’imprimante 3D fonctionne par addition de matière. Cette technique se différencie des tradionnels moulages, retraits de matière ou autres assemblages de pièces. En fonction de la technique d’addition utilisée on retrouve plusieurs noms un peu obscurs (jet, stéréolithographie, frittage…). La matière peut effectivement être déposée sous forme de poudre puis fondue à l’infrarouge ou à l'ultraviolet, ou bien déposée directement sur la couche précédente par dépôt de filament fondu…
Le procédé additif apparaît dans les années 1980, se développe à partir de 1990 grâce à l’usage pointu qu’en fait la recherche médicale. Dans les années 2010 on commence à parler des imprimantes 3D dans des domaines plus larges et la démocratisation se fait petit à petit. En 2013, la planète entière prend connaissance de la machine 3D à cause du buzz concernant la fabrication d’armes à feu en plastique et la diffusion de plans accessibles à tous sur internet. Plus récemment, et de manière plus positive, les maisons imprimées en 3D font l'unanimité.
Aujourd’hui, un large choix de matières est imprimable. Plusieurs types de plastique, qui vont se différencier au niveau de la dureté et de la solidité ou encore de la résistance face à certains abrasifs ; du métal, du bois, des matières comestibles et même des tissus organiques. Le plastique est la matière qu’utilise principalement les imprimantes grand public. Ce type d’imprimante devient aujourd'hui de plus en plus abordable, certains modèles se vendent même une centaine d'euros.
L’imprimante 3D revêt une dimension « sympathique », mais pour quelles raisons certaines personnes l’utilisent ? Il existe un large panel d’usages de l’impression 3D. Pour l’art, pour l’utilité, pour la science, pour le fun…
De façon générale, les objets les plus fréquemment imprimés sont des prototypes de toutes sortes : chaussures, voitures, innovations technologiques ou techniques, maquettes, objets d’art, figurines, objets pratiques, pièces vouées à la réparation d’objets, prothèses, etc. On retrouve en marge de cette liste des créations vraiment incroyables : entre les organes viables, la nourriture, les maisons, etc, on pourrait croire que tout est possible !
Que ce soit pour un objectif professionnel ou personnel, on retrouve beaucoup d’avantages à créer en 3D. C’est économique si l’on pense aux prototypes scientifiques/ technologiques, où l’on évite les frais liés aux économies d’échelle lorsque l’on teste un projet. Du côté personnel, fabriquer une petite pièce faisant partie d’un tout pour éviter de racheter l’ensemble est aussi un avantage, et un plus pour l'environnemental ! Avec la 3D, on peut enfin tirer la langue à l’obsolescence programmée. Si on va dans les extrêmes, on peut même recycler ses déchets plastiques pour fabriquer de la bobine de filament destinée à l’impression 3D ! Fascinant.
Le must des avantages est bien sûr de pouvoir concevoir selon votre idée. A votre tour, devenez Géo Trouvetout et façonnez, créez ! Vous pouvez également trouver puis modifier des objets en open source : voir notre article à ce sujet.
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Ne ratez pas le RDV avec Partage 3D sur les ondes FM 93.9 !
Rediffusion complète ici, minute 36''47 !!
Mardi 14 février 2017 l'association est intervenue sur Radio Campus Paris pour la matinale de 19h30. Une première pour Partage 3D qui a relévé le défi !
Combat de Robots avec Partage3D - Sumobot 2017 !
Written by monomgabrielCombat de Robots avec Partage3D - Sumobot 2017 !
Tous les ans l’école d’ingénieurs ESIEE Paris reçoit avec son association bénévole l’EsieeSpace des visiteurs européens pour une compétition de robots nommée Sumobot, organisée sous forme de tournoi. Les robots doivent s’affronter à la manière de sumos : le premier robot à sortir du ring perd la manche, celui qui remporte le plus de manches gagne le match.
L’utilisation d’imprimantes 3D s’avère indispensable pour construire ces robots, notamment pour matérialiser structure et carrosserie.
En tant que partenaire de l’EsieeSpace, l’association Partage3D tiendra un stand lors de cet évènement qui aura lieu le 25 février 2017 à l’ESIEE. Les entrées sont gratuites, tous les détails pratiques ici.
L'accueil est toujours chaleureux, nous vous attendons nombreux !
Waoh ! Partage3D est de retour au salon spécialisé Makerfaire, cette fois à Lille, du 4 au 6 novembre 2016.
Une occasion pour le site de se faire connaître dans le Nord et de pouvoir impulser une nouvelle mini communauté à se développer là-bas.
De passage, n'hésitez pas à venir nous aborder pour en savoir plus sur ce que nous mettons en place pour vous, passionnés ou interessés.
Pour ceux qui, malheureusement, ne pourront venir, nous vous résumerons toutes les petites merveilles de technologie que nous auront croisé !
A bientôt à Lille ou sur partage3D.fr !
Inscriptions ici http://makerfairelille.com/
Expérimenter le Maker Faire de la foire de Paris en tant qu’exposant.
Notre petit stand de présentation de la plateforme collaborative partage3D.fr était entouré de tous ces fous de l’innovation technologique, subtil croisement entre geeks et hippies.
Point de vue :
En face, présentation d’un bras robotique entièrement imprimé en 3D, à gauche fabrication d’imprimantes 3D made in France, à droite un atelier d’apprentissage de programmation Phyton pour les enfants. Un petit robot passait son temps en flânant dans notre allée. En se promenant de cet immense hangar, nous avons pu croiser quelques surprenants personnages : une fourmi géante pilotée par des enfants concentrés sur la tâche, un dinosaure, un drone dirigeable, des musiciens en plein concert sans instruments de musique…
C’était l’occasion pour nous de nous intégrer pour de bon dans ce monde futuriste. Discussions, partages, rencontres avec de simples particuliers arrivés par hasard dans ce lieu aux professionnels de la création 3D, musiciens, exposant divers, nous avons pu partager notre idéal avec eux.
Notre thème commun : la 3D sous toutes ses formes et l’innovation.
Evidemment nous recensons la présence de nombreux créateurs et vendeurs d’imprimantes 3D et de Fablabs mais pas seulement : ateliers de programmation, fabrication de drônes, de machines diverses pour décomposer le plastique et le recycler en filaments, hologrammes, astronomie, robots androïdes… Beaucoup de ces stands promouvaient la découverte et l’apprentissage de la technologie pour tous. Ainsi il y avait énormément de démonstrations et d’ateliers participatifs. La notion de partage de découverte était au cœur de l’événement Maker Faire.
Les projets les plus fous sont expérimentés dans ce lieu futur. Un homme vient nous voir, nous demandant conseil sur la façon dont s’y prendre pour scanner l’intérieur d’une oreille. Son but : créer un appareil électronique façon boule Quies capable de séparer le son de ronflements d’autres sons ; une jeune femme travaillant sur l’autosuffisance alimentaire et fabriquant du plastique à partir de lait ; des musiciens en plein concert sans instruments autres qu’un gant connecté ; une femme pilotant un drone par la pensée…
Un seul regret : impossible de tout voir et de tout comprendre sur deux jours uniquement ! De la même façon qu’il est impossible de vous décrire tout ce que nous avons vu dans ce seul article ! Je vous conseille donc de nous retrouver l’année prochaine sur cet événement pour le vivre avec nous !
Quelques stands représentés :
- Planète Sciences
- Bicéphale
- Tech Kids Academy
- Fablab du Lorem
- Ecoset 2.0